19h30 dans le hall d’un hôtel tourangeau. Comme toutes les six semaines, Françoise Chopin, coach en management d’entreprise chez Dale Carnegie, accueille un public désireux d’en savoir plus sur ce qui fait la renommée de la marque plus que centenaire, et notamment la désormais célèbre formation au leadership ou le coaching management. En deux mots : sincérité et échanges. Une recette qui a fait ses preuves auprès des cadres réceptifs et actifs devant les paperboards qui n’attendaient plus qu’eux…
C’est peut-être parce que, pour être formateur chez Dale Carnegie, il faut d’abord avoir été manageur soi-même, que Françoise Chopin fait mouche dès qu’elle s’adresse à des cadres. “Savez-vous ce qui fait d’une personne un leader ?”, leur demande t-elle en préambule à la présentation de la formation au leadership. Après avoir rompu la glace en donnant la parole à une assemblée attentive et désireuse de répondre à chaque question de cette conférence en management, Françoise met les cadres au travail. Répartie dans deux équipes, autour d’un paperboard, l’assemblée est invitée à un brainstorming autour de la question :
Diverses propositions émergent que l’on classe en trois catégories : la connaissance, la compétence et l’attitude. La connaissance constitue le socle de la réussite de chacun, elle n’intervient qu’à hauteur de 15% de la satisfaction globale de la personne. La compétence et l’attitude comptant en effet pour 85% dans la réussite “globale”, incluant son épanouissement au travail et la façon dont ses collègues la perçoivent.
A l’issue de la présentation de la formation au leadership, certains d’entre nous s’interrogent… Suis-je finalement si épanoui que cela ? Après tout, on peut me considérer comme un manager pas si attentif qu’il n’en a l’air ? Le coaching management pourrait-il m’être profitable ? A moins d’opter pour le coaching du dirigeant ? Le processus de réflexion s’engage…
Françoise nous livre alors la recette pour devenir un manageur heureux : La pratique – la pratique – la pratique ! Autrement dit, pour s’épanouir dans ses fonctions, il faut, non seulement prendre conscience que sa pratique professionnelle est perfectible, mais aussi avoir envie de changer, se doter des outils qui permettront d’accéder au changement et – le plus important – s’entraîner ! Sans cela, suivre une formation au leadership ou le coaching management ne présente que peu d’intérêt. D’ailleurs, les chiffres parlent d’eux-mêmes. S’il faut 30 jours pour changer une attitude, 6 à 8 mois s’avèrent nécessaires pour modifier un comportement. Vu ainsi, le comportement ne sera que le changement d’attitude, pérennisé.
C’est seulement au prix d’une répétition quotidienne de certaines actions ou attitudes que tout manager atteindra les 5 axes clés de la réussite, à savoir : la confiance en soi – la qualité relationnelle – la capacité à communiquer – le leadership personnel et la maîtrise du stress. Autant de points, bien entendu, détaillés dans des formations, comme la formation au leadership, mais aussi lors du coaching management ou du coaching du dirigeant. Disposant des armes pour mieux être et mieux travailler, tout manager sort naturellement de sa zone de confort, l’élargit, et déploie de nouvelles compétences.
Nos prochaines conférences
“Toutes les formations Dale Carnegie – et pas seulement la formation au leadership – en fonction de vos besoins précis, vous permettent de travailler un point spécifique qui a besoin d’être renforcé. D’une durée plus ou moins longue, les sessions s’organisent sur plusieurs mois ou quelques heures. Mais, à chaque fois, vous pourrez immédiatement mettre à profit vos enseignements dans votre pratique professionnelle. Lors du coaching de dirigeants et managers, par exemple, vous apprendrez à identifier les différents types de personnalités et la façon de les manager. Le coaching du dirigeant recensera également les diverses façons de diriger une entreprise et d’impulser une dynamique auprès des managers. Vous en ressortirez toujours enrichis”, assure Françoise, notre désormais coach en management d’entreprise devenue, en l’espace d’une heure, notre meilleure confidente sur nos doutes et nos espoirs. Et une femme, assise à côté de moi d’ajouter “Mon collègue me l’avait bien dit. A la fin, on veut tous s’inscrire !”.